En apprenant la disparition de Michel Galabru ce lundi, Jean-Pierre Mocky s’est souvenu d’un "homme bourru mais plein d’esprit". "Il n’a jamais eu d’ennemis", a indiqué le réalisateur au micro de BFMTV. "C’était comme un grand-père (…) On l’aimait car il aurait pu faire partie de notre famille. Il était très simple et pas du tout prétentieux", a estimé Jean-Pierre Mocky.