Seize ans après avoir fui l'Afghanistan, à une période où les murs n'existaient pas en Europe, Amir vient actuellement en aide aux réfugiés à la frontière entre la Grèce et la République de Macédoine. De par son passé, la situation des migrants le touche particulièrement : "quand quelqu'un leur crie dessus ou leur parle mal, pour moi c'est la pire des choses", explique-t-il.