Selon le baromètre de la chambre de commerce franco-américaine, seuls 3% des chefs d'entreprises américains conseilleraient d'implanter une société en France. La perception positive globale de l'Hexagone, en 2015, est toutefois meilleure que celle de l'année dernière. Elle est à 18% contre 12% en 2014. Selon Nicolas Doze, le climat social qui n'évolue pas, la fiscalité lourde et changeante ainsi que la complexité du droit de travail ont des conséquences négatives sur l'attractivité du pays. Pour changer les choses, il faut remettre la fiscalité du capital à un niveau normal, a-t-il affirmé. Jean-Marc Daniel, lui, estime que l'attractivité globale passe également par les investisseurs français qui, en général ne privilégient pas leur propre pays. - Le Débat de Good Morning Business, du jeudi 26 novembre 2015, sur BFM Business.