Face au Sénat, le premier ministre, Manuel Valls, s'est defendu, vendredi 20 novembre, d'entretenir "je ne sais quel sentiment anxiogène", soulignant que c'est "la terreur qui alimente la peur" et non pas "nos discours, nos actes".
Le premier ministre a également ajouté qu'il ne comprenait pas que des eurodéputés, dont des Français, s'opposent au fichier PNR des passagers aériens.