Manuel Valls a averti jeudi du risque d'attentat avec des "armes chimiques ou bactériologiques", dans son discours devant l'Assemblée nationale sur la prolongation de l'état d'urgence. "Il ne faut aujourd'hui rien exclure. Je le dis bien sûr avec toutes les précautions qui s'imposent mais nous savons et nous l'avons à l'esprit. Il peut y avoir aussi le risque d'armes chimiques ou bactériologiques", a déclaré le Premier ministre.