Pour le président du parlement européen, Martin Schulz, il ne faut pas faire des réfugiés venus de Syrie les boucs-émissaires des attentats du 13 novembre. "Ils fuient la même terreur que celle que nous vivons aujourd'hui. Chez eux, elle est devenue quotidienne. Les blâmer voudrait dire prendre les victimes pour les responsables", a-t-il déclaré lundi 16 novembre.