La psychologue bénévole Pascale Bataille a décrit l'état psychologique dans lequel peuvent se trouver les survivant(e)s des attaques de vendredi. "Les survivants ont cette idée que comme ils ne sont ni blessés ni morts, peut-être qu'ils ne sont pas victimes, alors qu'en réalité ils le sont", explique la psychologue. Et de préciser: "au moment de l'événement on est en état de choc, en sidération, ce que dans un deuxième temps que les symptômes apparaissent".