L’arrivée de migrants dans les centres de répit de Lorraine suscite une vive inquiétude comme à Pexonne où le conseil municipal a menacé de démissionner. Les maires sont sous pression, s’estiment peu informés et mis devant le fait accompli. C’était aussi le sentiment d’Arthur Minello, maire de Arry, près de Metz mais dans le village la situation semble apaisée et sereine quinze jours après l’arrivée de 51 soudanais en provenance de Calais.