Une étude internationale conduite par les équipes d’Isabelle Maridonneau-Parini et Olivier Neyrolles à l’Institut de Pharmacologie et de Biologie Structurale révèle qu’une population de cellules immunitaires anti-inflammatoires, induite par le microenvironnement infectieux, est favorable à la prolifération du bacille tuberculeux et délétère pour la défense de l’hôte contre cette maladie.
Cette étude, qui ouvre de nouvelles perspectives thérapeutiques, est publiée dans la revue Cell Research.