SEARCH
FIFA : Sepp Blatter sort du silence pour critiquer Michel Platini et Nicolas Sarkozy
France Inter
2015-10-29
Views
207
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
Sepp Blatter, président suspendu de la FIFA, sort du silence dans un entretien accordé à l'agence de presse russe TASS, pour critiquer Michel Platini... et Nicolas Sarkozy.
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://dailytv.net//embed/x3bg94l" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
01:43
Le 07h43 : "La démission de Sepp Blatter, une victoire de Platini ?"
01:37
Le 07h43 : "La démission de Sepp Blatter, une victoire de Platini ?"
01:33
Alexis Trégarot : "Y forcément matière à critiquer"
22:25
Christophe Béchu : "Critiquer les propos du président de la République est un exercice assez classique"
00:55
Etienne Klein : "C'est plutôt bon signe : si vous publiez un article et que des gens trouvent le moyen de le critiquer, il est retiré"
00:58
Fary : "Je pense que c'est un danger de critiquer le communautarisme"
00:50
Xavier Bertrand : "Boris Johnson a tout misé sur la vaccination (...) : il a voulu un vaccin, et il a eu son vaccin. Si ça n'avait pas fonctionné, on aurait pu le critiquer, mais le rôle d'un responsable politique c'est la prise de risques."
03:18
Ne jamais critiquer une Mathilde ! - Le billet de Daniel Morin
05:15
Critiquer les stars post-mortem- Tanguy Pastureau maltraite l'info
01:38
Impôt minimum sur les sociétés : "Le G7 est une honte en soi ! Mais s'il y a une taxe mondiale sur le capital, n'attendez pas que j'aille critiquer ça !", dit Jean-Luc Mélenchon
01:59
Stanislas Guérini (LREM) sur le grand débat : "Je trouve étonnant qu'on puisse le critiquer parce qu'il se met en situation de pouvoir répondre aux questions que se posent les Français"
01:49
Pierre Rosanvallon, historien et sociologue : "Au nom de la souveraineté du peuple, Napoléon III a été le premier à critiquer la liberté de la presse et les partis, en disant aux journalistes que personne ne les avait élus."