Le groupe nucléaire français en pleine restructuration, qui accuse une perte de cinq milliards d'euros en 2014, annonce un plan de sauvegarde de l'emploi qui pourrait, à terme, concerner 3.000 à 4.000 personnes. Soit un peu moins de 10% de ses effectifs dans le monde. Quatre syndicats sur cinq, ont signé cet accord, la CGT s'étant abstenue.