Les cinq salariés d'Air France mis à pied par la compagnie pour leur participation aux événements qui ont entaché le comité central d'entreprise ont décidé de parler. Ils veulent donner leur version des faits mais rester anonymes. Les salariés nient être impliqués dans les violences, ils se disent traumatisés par les conditions de leurs interpellations. Certains ont dû faire appel à un psychiatre. Les cinq salariés comparaîtront devant la Justice le 2 décembre prochain.