Interrogée sur la tricherie de Volskwagen, la centriste s’est déclarée « estomaquée par la petite réaction du gouvernement français. La première mesure serait d’interdire, comme chez les Suisses ou les Belges, les véhicules avec les moteurs en cause ». Favorable à une réforme, elle plaide pour qu’elle soit établie au niveau de l’Europe. « Il faut une réforme au niveau européen bien évidemment. Et que la France prenne le leadership sur le sujet », juge-t-elle. Avant de conclure à propos des industriels automobiles : « On a des doutes… Je me demande s’ils sont vraiment capables de respecter ces normes de pollution ».