Le Conseil constitutionnel a validé mardi l'interdiction d'Uberpop. Les 10.000 chauffeurs non professionnels revendiqués par la société se retrouvent donc sans cette source de revenu. "Pour moi, c'était un complément important de ma retraite", a témoigné Paul, ancien chauffeur Uberpop. Séduit par le métier, il va continuer de transporter des passagers, mais via un service de VTC, tout à fait légal contrairement à Uberpop.