Dans cette station balnéaire qui multiplie sa population par sept pendant l'été, et plus connue pour ses voiliers de luxe que pour la crise migratoire, les ONG ne sont pas vraiment présentes, et l'assistance "officielle" aux réfugies est faible, mais les habitants tentent d'aider les Syriens de passage. Selon un commerçant, la ville n'a pas mesuré l'ampleur du problème.