La présidente du Front national refuse de dire que les migrants, et plus particulièrement les Syriens fuyant le régime de Bachar el-Assad, sont persécutés. Invitée ce lundi sur iTélé, Marine Le Pen assure que «la majorité de ces gens qui arrivent ne sont pas des réfugiés politiques».
«Si l'on s'en tient aux critères de l'asile, il faut être persécuté par le gouvernement en place. Ceux qui sont actuellement combattus par le gouvernement en place, ce sont les fondamentalistes islamistes. Alors vous voyez qu'avec ce genre de critères, on se prépare peut-être à des lendemains qui déchantent.»