Près de huit mois après les attentats qui ont secoué la région parisienne en début d'année, et cinq jours après l'attaque du Thalys, la France compose son année 2015 avec le terrorisme. Une crainte et un manque de moyens que soulignent la plupart des représentants de l'échiquier politique hexagonal.
C'est le cas par exemple de Marion Maréchal-Le Pen qui, sur Europe 1, n'a pas manqué de rappeler qu'il s'agissait «du cinquième attentat terroriste islamiste depuis le début de l'année 2015» avant de regretter que «la seule chose que nous propose le gouvernement» soit «un numéro vert qui existe déjà».