Des étangs de pisciculteurs, dans l'Ain, ont perdu entre 45 et 50 centimètres de profondeurs, ce qui s'avère dangereux pour la survie des poissons. "À part aérer il n'y a pas grand-chose à faire. Pour l'instant, ce sont de petites mortalités, mais ce qu'on a peur c'est qu'ils arrivent un matin et que tout soit mort", a expliqué Sylvain Bernard, conseiller à la Chambre d'agriculture de l'Ain.