Le Conseil constitutionnel a censuré trois articles de la loi sur le renseignement, mais celle-ci inquiète toujours autant. "Compte tenu du champ d'application et des méthodes utilisées, qui sont parfaitement intrusives, chacun pourra être, à un moment donné, surveillé. Il n'y a pas le minimum de garantie pour préserver les libertés publiques", dénonce Geneviève Garrigos, présidente d'Amnesty International.