Dominique Strauss-Kahn s’attaque aux créanciers de la dette grecque. Dans une lettre de trois pages, diffusée en anglais, en allemand et en français, il fustige l’accord conclu entre la Grèce et la Troïka. Un accord que l’ancien patron du FMI -mis en cause dans des affaires de violences sexuelles- considère dangereux pour l'Europe.