Au lendemain du «non» au référendum en Grèce, une grande partie de la classe politique française a tenu à analyser le vote du peuple grec. C’est le cas de Stéphane Le Foll, pour qui ce vote n'implique en aucun cas une sortie de la Grèce de l'union européenne. Comme lui, de nombreux élus, en particulier de gauche, estiment que cette décision du peuple n'est pas «une défaite de l'Europe». Ils estiment que ce référendum ouvre simplement une nouvelle étapes dans les négociations avec Athènes.