Quelques heures après la démission du ministre des Finances grec, Yanis Varoufakis, le porte-parole du gouvernement a pointé du doigt les propos «inacceptables» que ce dernier avait lancé à l’encontre des créanciers la semaine dernière. Il avait alors qualifié de «terrorisme» leur comportement vis-à-vis de la Grèce.
A l'heure des négociations, «il faut chercher à trouver des compromis et ne pas se renvoyer des arguments qui n'en sont pas», lance encore Stéphane Le Foll sur BFM TV. Il reconnaît que le départ de Yanis Varoufakis était préférable.