La Cour de cassation a validé ce vendredi, l'inscription à l'état civil français de deux enfants nés de gestation pour autrui à l'étranger. Cela ne représente pas la légalisation de la gestation pour autrui. "Il s'agit, ni plus ni moins, de la reconnaissance pour nos enfants du simple fait d'être français et d'avoir les droits qui y sont rattachés", précise Dominique Boren, père de l'un des deux enfants.