François Hollande a souligné mercredi que, "comme Européen", il se refusait à une "dislocation de la zone euro". A son arrivée à Lyon pour un sommet sur le réchauffement climatique et les collectivités territoriales, le chef de l'Etat a affirmé qu'il cherchait "l'accord, la négociation, la raison". Le Président a enfin répété qu'il n'y avait "pas de risque majeur pour la France".