Les Grecs seront appelés aux urnes dimanche 5 juillet. Ils devront se prononcer pour pour ou contre les propositions de réformes réclamées par les créanciers d'Athènes en échange du déblocage de nouvelles liquidités.
La tenue de ce rendez-vous démocratique ne fait pas l'unanimité au sein de l'Union européenne (UE), encore moins en France où hommes et femmes politiques de tous bords ont tenu à réagir, dénonçant souvent la manière dont le Premier ministre grec gouverne son pays.