Son exposition n'est pas du goût de tout le monde. Le plasticien britannique d'origine indienne investit les jardins du château de Louis XIV avec des installations monumentales. Une tentative, selon lui, de "mettre des choses qui produisent un léger désordre". Parmi elles, "Dirty Corner", une trompette de soixante mètres de long, que l'artiste au comparé au "vagin de la reine qui prend le pouvoir".