Le député Les Républicains (LR) semble contrarié. Invité mercredi soir sur iTélé, il déplore la manière dont le nouveau parti fait ses premiers pas. «Quand même, depuis dimanche, on fait fort. Mon dieu, c'est reparti comme avant ! Et celui qui vous dit cela a aussi de l'ambition pour la primaire», s'est-il indigné. «On n'est pas obligé de la commencer trop tôt la primaire. On n'est pas obligé de s'invectiver. On n'est pas obligé de se regarder les uns les autres et de se taper les uns sur les autres.»

«On n'a pas besoin de critiquer pour exister et pour grandir. On n'a pas besoin de rabaisser les autres», a-t-il assuré. «Quand je dis cela, je me fais le porte-parole de celles et ceux qui m'ont dit "Dans votre discours vous avez parlé de positif. Vous n'avez pas critiqué les autres". Je n'avais pas mesuré combien nos militants, nos électeurs, ne veulent plus revivre les divisions du passé.»