Cela devait être l’un des moments forts de la législature : le fameux glissement fiscal, ou « tax shift ». Une baisse de près de 5 milliards des charges sociales, pour alléger le coût du travail en Belgique. Et une compensation par des augmentations de fiscalité dans d’autres domaines.
Pourquoi le tax-shift pourrait se réduire à peu de chose ? Bernard Demonty a répondu à vos questions.
Entretien: Alain Gérard
Images: Jean-Marc De Wynter