On savait l'air de Paris souvent vicié. Celui que l'on respire dans le métro n'est pas plus sain. Lui aussi est pollué par les PM10, ces particules fines qui provoqueraient des troubles respiratoires et des maladies cardio-vasculaires. Aux heures de pointe, cette pollution peut dépasser quatre fois le seuil autorisé. Un problème sanitaire qui inquiète les usagers, mais plus encore les salariés passant leur journée sur ces voies.