"Jolly Caballero" composé par l'un des deux premiers grands de l'accordéon vers 1912, Pietro FROSINI ( l'autre étant Pietro DEIRO ).
Guy VIVIER a délibérément choisi d'interpréter sur un tempo encore dansant, a contrario de tant d'accordéonistes cherchant à établir un record de vitesse pour épater la galerie, au détriment de la musicalité. L'emprunt au violon, cette secousse du soufflet nommée Bellows-shake attestant de la virtuosité du concertiste.