Au cours de cette campagne, David Cameron n’a pas manqué de rappeler son bilan dans le domaine économique : un chômage ramené à près de 5% en l’espace d’un mandat et une économie qui a repris des couleurs. Mais la victoire des conservateurs n’est pas assurée pour autant. La cote de David Cameron n’a pas réussi à s’envoler dans les sondages. Pour appuyer son message, le Premier ministre a dû peaufiner son discours, entre la promesse d’un pouvoir d’achat plus élevé et une mise en garde faceà la montée des nationalistes écossais, auxquelles les travaillistes pourraient s’allier.