52 morts : c’est presque la moitié du nombre de civils tués depuis le début des frappes contre Etat islamique en septembre dernier.
Parmi les victimes de vendredi figurent au moins sept enfants. Au moins treize personnes sont encore portées disparues, sans doute prisonnières des décombres.
La frappe a touché le village de Birmhale. Le centre-ville d’Alep a lui été touché par une pluie de roquettes. Elles se sont abattues sur des quartiers contrôlés par le régime et ont fait quatorze morts, dont trois enfants, et soixante blessés.