Le ministère de la Défense a fait un point ce jeudi matin à propos des soupçons de viols sur des enfants à l’encontre de certains soldats français en Centrafrique. Des faits qui se seraient déroulés entre décembre 2013 et juin 2014. S’ils sont avérés, "les sanctions les plus fermes seraient prononcées à l’égard des responsables", a prévenu le colonel Gilles Jaron, précisant que ces actes "vont totalement à l’encontre de nos valeurs". "Pour l’instant, il est prématuré de désigner telle ou telle unité sachant que nous ne savons pas si ces faits sont avérés", a ajouté le conseiller communication du chef d’État-Major.