L'effet du choc semble passé. Charlie Hebdo continue à se vendre mais sur un rythme bien moins élevé qu'en janvier dernier, à la suite des attentats qui ont visé le journal. En fonction des kiosques, les ventes ont chuté de 50 à 90%. Beaucoup ont acheté l'hebdomadaire satirique pour marquer leur protestation, sans forcément adhérer aux thèses défendues par la ligne éditoriale.