Depuis les attentats de janvier à Paris et le renforcement du plan Vigipirate, les CRS sont mis à contribution et sollicités jour et nuit pour assurer des missions de surveillance. Une mobilisation de tous les instants qui pèse sur le moral des troupes. Les compagnies de Nancy, Toulouse ou encore Lyon se retrouvent ainsi confrontées aux arrêts maladie de plusieurs de leurs hommes, épuisés par la surcharge de travail.