François Hollande a indiqué mardi à Berlin qu'il serait possible d'ici la fin de la semaine d'identifier l'ensemble des victimes du crash de l'A320, grâce au travail de recherche d'ADN effectué sur les lieux du drame. Pour identifier les 150 victimes, les scientifiques ont plusieurs possibilités. "Par l'ADN, par le dentaire, par le côté médico-légal des choses s'ils ont subi des opérations avant, et par les empreintes digitales", explique François Daoust, de la recherche criminelle de la gendarmerie. Les résultats sont alors confrontés aux informations, notamment médicales, apportées par les familles des victimes.