Sébastien Giroux a vu l'A320 de Germanwings en train de perdre de l’altitude, juste avant le crash. "Il n'y avait pas de fumée, rien d'autre, mais vu l'altitude qu'il avait, il ne pouvait pas passer les montagnes, c'était impossible", explique-t-il. "C'est impressionnant, on n'a pas le temps de réaliser", commente cet employé d’une scierie de à Prads-Haute-Bleone, dans les Alpes-de-Haute-Provence.