Au lendemain de la suspension d'un mariage musulman à Nice, le maire de la ville Christian Estrosi a justifié cette décision devant notre caméra, expliquant qu'il s'agissait d'un "cas de radicalisation à la fois de la part du mari et de la future épouse". Et l'intéressé de rappeler que le futur marié avait été condamné, il y a deux mois, pour violences envers un commerçant qui vendait "du jambon et de l'alcool".