Le gouvernement a mis fin vendredi après-midi, immédiatement après le vote du Conseil général du Tarn pour un ouvrage réduit par rapport au projet initial, à 16 mois d'occupation du site par les zadistes. Bernard Cazeneuve a fait état de 21 personnes interpellées, dont une partie en garde à vue "pour attroupement interdit et violences sur agents de la force publique". Le Premier ministre, Manuel Valls, a déjà promis "une réponse extrêmement ferme de l'Etat" à l'encontre de "ceux qui continueraient sur le terrain à s'opposer à la légitimité des élus du territoire".