En visite à Marseille lundi, Manuel Valls a été interpellé par un jeune témoignant du sentiment de beaucoup d'habitants qui se sentent "indésirables". Revenant sur le mot "apartheid" qu'il a utilisé récemment, le Premier ministre persiste et signe. "J'ai parlé d'apartheid social ou ethnique, pas pour comparer avec ce qu'il s'est passé en Afrique du sud, mais parce-que c'est ce que ressentent les habitants de ces quartiers". Il faut "tout faire pour casser ces ghettos" "sinon tout va exploser", a-t-il poursuivi