Nicolas Doze revient sur le casse-tête généré par la question de la dette grecque. D'après lui, il y a deux solutions: d'un côté, le réaménagement des taux d'emprunts, et de l'autre côté, l'annulation partielle ou totale de la dette. Même si celle-ci est irremboursable, la deuxième option, c'est-à-dire l'annulation, n'est pas envisageable car elle ouvrirait une crise politique. Quelle position va donc adopter les gouvernements européens ?