La possible création d'une peine d'indignité nationale est soutenue par les députés socialistes, parmi un éventail de mesures de "consensus" que doit annoncer mercredi le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, a déclaré mardi un porte-parole des députés socialistes, Annick Lepetit. Prônée par l'UMP, celle-ci vise à priver les terroristes français de tous leurs droits civiques, civils et politiques.