"Ces derniers mois on était très seuls dans notre liberté d'expression qu'on voulait absolue", rapporte le journaliste de Charlie Hebdo, Laurent Léger. Beaucoup de gens nous ont critiqué. "Beaucoup n'aimaient pas ce qu'on fait. Dessiner et dire ce qu'on veut aujourd'hui en France c'est parfois difficile", regrette le survivant de l'attaque qui a décimé une partie de la rédaction mercredi.