Plus éloigné de l'époque troublée du « Dictateur », Tarantino revisite l'Occupation dans « Inglorious Basterds ». Si le film n'est pas à proprement parlé une comédie, le personnage de Hitler, lui, pourrait être vu ainsi.
Tarantino le montre totalement dépassé par les événements, avec un Goebbles à sa botte. Le réalisateur arrive à changer l'histoire, en l'abattant froidement à la fin, dans une grande catharsis.