«On nous dit que les experts algériens sont très compétents, je veux bien le croire… Ce sont des expertises très pointues, très techniques, il faut du matériel très sophistiqué. Si on nous donne l’assurance absolue qu’ils sont capables de le faire – ce n’est pas du tout ce que j’ai compris quand j’étais là-bas – je veux bien» - qu'il a dit le juge-.