Depuis la mort de Rémi Fraisse, Toulouse vit au rythme des manifestations hebdomadaires. Trois fois sur quatre elles ont dégénéré. A chaque fois les forces de police et la préfecture demandent au commerçants de fermer leur magasin, cela pour éviter tout risque d'escalade. Artisans et commerçants ne supportent plus ces contraintes. Les chambres consulaires montent au créneau pour imposer une "trêve de Noël".