Dans la famille de Bacar, à Mitsoudjé (Comores), vivent deux frères, perturbés mentalement. Abdou est libre, car non violent. Mais Rodrigues est en général attaché à un essieu de voiture, car il casse ses chaînes. Lors de notre tournage, en septembre 2014, il avait été libéré après une prière collective et avait disparu. Une situation est courante dans l'archipel, faute de structures de soins psychiatriques.