Les trois Groisillonnes n’en démordent pas, une nuit après le début de leur grève de la faim.
"Il fallait un coup de tonnerre"
Première nuit le ventre vide, mais la motivation est intacte. Dans la gare maritime de Port-Tudy, à Groix (56), elles gardent la forme à coup d’eau, de thé et de bouillon. «Il fallait avancer, il fallait un coup de tonnerre», répète Chantal Vanoni, suivie par Cathy Calloch’. Les images de Tébésud.