Alors que le scrutin des Midterms apparaît comme un tournant pour le second mandat d'un Barack Obama en fâcheuse posture, les électeurs américains semblent pourtant s'en désintéresser. Un paradoxe quand on sait que 3,6 milliards de dollars ont été dépensés en amont par les partis politiques, ce qui en fait la campagne la plus chère de l'histoire.