Il fut le jeune et fringant directeur de cabinet d'un Christian Bourquin à
peine élu président socialiste du conseil général. Puis celui-ci voyant en lui un potentiel Brutus, il s'en est débarrassé. Bruno Delmas se recycle alors dans l'entreprise (Là, il y a une ellipse) et glisse vers la droite et Nicolas Sarkozy.Il se présente aussi à la présidence de la CCI où il échoue face à Fourcade. Investi dans le mouvement citoyen L'olivier (peuplé pour beaucoup de centristes) il défend: le train jaune, les commerçants du centre ville, l'école des beaux arts...Il sera présent aux prochaines élections cantonales de 2015